Bonjour,
2 ans, 60 news !
Et pour l’occasion, une news un peu spéciale aujourd’hui.
Vous me demandez souvent : où trouves-tu le contenu ? comment gagnes-tu ta vie ?
quel est ton but avec La Newsmeyer ?…
Bienvenue dans ses coulisses, que nous explorons par 8 questions/réponses.
C’est parti.
Comment je choisis les sujets ?
Le choix de la prochaine news est mon moment préféré. J’adore !
Un bon café chaud, dans un endroit calme, en mode avion, muni d’une feuille A3 blanche. Je pars de là, me connecte à mon intuition et…attends que quelque chose jaillisse.
Généralement, il me faut 10 minutes pour qu’une idée surgisse et, dans 90 % des cas, je décide de rédiger la news dessus.
Bien sûr, mon intuition se nourrit du référentiel de mon contenu, de l’actualité du moment, des news déjà publiées et de ce que je viens de vivre avec mes clients.
Mais fondamentalement, c’est elle qui œuvre pour déterminer les sujets, dans un moment ressourçant de créativité.
Est-ce que j’utilise chat GPT ?
Non. Pas pour La Newsmeyer.
Peut-être une fois ou deux, de temps en temps, pour m’aider à améliorer le titre (ce n’est pas mon point fort) ou une expression.
Et encore.
Zéro Chat GPT pour trouver le sujet ni pour rédiger !
Quel est le défi principal de La Newsmeyer ?
En fait, je rencontre 2 défis stimulants.
Le 1-er est qu’il existe finalement assez peu d’interactions entre nous malgré vos retours par mail à chaque news (merci, ils sont très précieux 😉). Le lien demeure surtout asymétrique. Pour moi qui apprécie par-dessus tout l’interaction, c’est la limite de l’exercice.
👉 D’où cet objectif de compléter la news pour évoluer vers une vraie communauté d’échanges afin de bénéficier de l’effet de groupe : ateliers online et autres animations à venir sur lesquelles je planche.
Le 2-ème défi est qu’il est difficile (et je pense impossible) de contenter tout le monde avec une news. Vos réponses aux questionnaires de satisfaction l’attestent : vos attentes sont très différentes, sans dénominateur commun limpide, ni sur le fond, ni sur la forme.
Une mosaïque de singularités !
La solution ? la variété : variété des sujets, du ton, de la durée de lecture, du niveau d’approfondissement…
Pourquoi c’est une bonne nouvelle ? car chacun de nous est une « version originale » et c’est tant mieux !
Quelles sont mes sources scientifiques ?
La science est très présente dans mes publications qui s’appuient toutes sur des références scientifiques solides même si je les détaille assez peu (temps de lecture oblige).
D’où proviennent-elles ? du champ scientifique de la Santé Mentale Positive (OMS) – un trésor de connaissance à notre portée dans lequel je me suis immergé totalement depuis 5 ans : plus de 100 études passées au peigne fin, 30 interviews approfondies d’experts du sujet…
L’argument science n’est pas si simple à mettre en avant. Il nécessite ce juste dosage entre fondements scientifiques et mise en pratique concrète. Mais je suis convaincu qu’il est indispensable pour crédibiliser le contenu, à un moment où nous avons besoin de repères fiables pour qualifier l’information.
Comment je gagne ma vie ?
That is the question 😉
Pour le moment, essentiellement par mes prestations en entreprise et de coaching individuel avec les particuliers.
A terme, en complément, mon objectif est de commercialiser des programmes en ligne aux abonnés de La Newsmeyer.
Les formations en ligne, c’est mon dada depuis 35 ans. Mon premier stage professionnel en 1990 était là-dessus !
Mais chose amusante, je suis plus lent que prévu sur le sujet ! J’ai œuvré en « Zone 30 » tout 2023 (il a fallu me former aux nouveaux outils 😉) et le 1-er programme sur l’équilibre pro-perso est sorti l’année dernière.
Mercredi dernier, vous avez reçu un mail lançant sa 2-ème promotion qui débutera le 10 avril 2025.
Cette année, je prévois de commercialiser 2 autres programmes en ligne sur le thème : « Rester solide en période de forte incertitude ».
Combien d’abonnés aujourd’hui et ensuite ?
Jusqu’alors, j’ai peu fait la promotion de La Newsmeyer qui a grandi grâce au bouche à oreille et, plus ponctuellement, grâce à Linkedin.
Vous êtes 600 à la suivre 👍✨
Et vous êtes FIDÈLES : 58 % de taux d’ouverture en moyenne et désinscriptions négligeables !
C’est top, merci pour cela 🙏😉
👉 Depuis février, les choses changent : moins de sous-marin, plus de projecteurs !
Pour me faire connaitre, j’ai co-écrit avec Arnaud Hayaert, une personne que j’aime beaucoup, un e-book sur la santé mentale positive.
D’autres actions de ce type sont en cours.
🎯 Objectif ? atteindre 1000 abonnés d’ici septembre 2025.
Tout cela en gardant à l’esprit que vos recommandations restent, in fine, le meilleur moyen pour faire grandir la communauté 🚀
Deux moments « fail » ? 😉
Je passe 15 minutes à réécrire une phrase. Je change encore. Et encore. Et je me dis « Wow. C’est beau. C’est puissant. » Le lendemain matin, je relis le « chef-d’œuvre » et là… « Quoi ? Mais C’EST NUL. Qui a écrit ça ?? » Ah, le syndrome de la phrase parfaite…
Pourquoi, après avoir relu 10 fois, c’est toujours une fois l’e-mail parti que je vois LA coquille évidente ? 😂
Une cause derrière tout cela ?
Oui.
Je défends la cause de la vraie positivité : scientifique, élargie, au-delà de la pensée positive, opérante dans l’action du quotidien. Ce que j’appelle « la positivité de la vraie vie ».
Car elle est une expérience sans égal, une véritable pépite pour améliorer nos existences et particulièrement en 2025 où tout bouge autour de nous.
J’interviens au niveau individuel, convaincu que c’est un des moyens de contribuer au niveau collectif : entreprises, institutions, société.
La semaine dernière, j’ai eu un échange passionnant avec Eddy Fougier, politologue, consultant-expert fondateur de « l’Observatoire du Positif » sur les enjeux sociétaux et vitaux de la positivité en France. Je vous recommande vivement de découvrir son travail très intéressant.
Eddy Fougier emploie cette expression que j’adore « d’empreinte positive laissée ». Un beau résumé, à ma petite échelle, de ce qui m’anime.
Voilà !
Merci d’être là, chers lecteurs, avançons ensemble dans cette belle aventure et hâte de vous retrouver dans 15 jours !
Gilles.
