Bonjour,

Voici 10 exemples de pleine présence dans nos relations personnelles.

Ils proviennent de vos retours et de nos échanges  suite à « l’exercice de 4 minutes ».

Merci pour ces interactions, pleines de présence 😉 
 

Retrouvailles (Christophe) : chaque été, Christophe voit son filleul. Ils s’accordent toujours un moment seuls à deux, en pleine présence, pour se retrouver pleinement.  A l’abri du reste de la famille.  Se voir bien quand on se voit peu.  

L’ado (Anne) : il ou elle parle aux parents quand il en a envie, pas sur commande !  alors quand il ouvre la discussion, Anne « switche » en pleine présence pour se connecter à lui le mieux possible.  La qualité de lien maximale lorsque la fenêtre de tir est là.  

Affirmation de soi (Véronique) : parfois Véronique n’ose pas exprimer ses besoins, ses désirs, ses droits.  Elle utilise alors la pleine présence, d’abord seule pour chasser ses pensées négatives et clarifier ses besoins. Puis avec son interlocuteur pour s’exprimer clairement et en vérité.     

1-er contact (Nathan) : pour discuter avec une personne inconnue, Nathan lui pose simplement une question sur elle, en posture de pleine présence.    S’intéresser sincèrement à l’autre, lui accorder une vraie attention… et le reste suivra.

Fratrie (Inès) : à certains repas, Inès fait faire l’exercice à ses deux aînés avec leur petite sœur pour qu’elle puisse s’exprimer pleinement quelques instants et avoir enfin voix au chapitre !  rien de tel que la pleine présence à l’autre pour lui donner sa place.

Personne âgée (Laurent) : Laurent pratique la pleine présence lorsqu’il échange avec des personnes âgées. Elles ont souvent besoin de considération, de ressentir qu’on s’intéresse encore à elles.  

Discussion à fort enjeu (Olivier) : lorsqu’Olivier doit formuler une demande importante à quelqu’un, il se remémore juste avant « l’exercice des 4 minutes ».  Et adopte la pleine présence avant de prononcer ses premiers mots.   Tout devient alors plus naturel, clair et puissant. 

En couple (Pierre) : Pierre et son épouse utilisent la pleine présence lorsqu’un conflit éclate et que la communication traditionnelle achoppe.   Ils réalisent un exercice similaire à celui des « 4 minutes ».   Et ça fonctionne  ! 

L’amie en difficulté (Claudia) : une amie de Claudia se confie à elle sur un sujet difficile. Claudia adopte la pleine présence pour diminuer son propre stress et son flux de paroles. Nul besoin d’ajouter du stress à celui de son amie.  Le calme revient et la qualité du lien avec.

Le débat avec les jeunes (Gilles) : Un dîner d’été en vacances avec 8 jeunes de tous âges et plusieurs parents.  L’ambiance est au beau fixe. Nous engageons un débat sur un sujet attractif pour les jeunes.  Une règle d’or : laisser chacun s’exprimer jusqu’au bout de son idée, sans l’interrompre.  Résultat : des témoignages d’enfants extraordinaires, insoupçonnés, d’une richesse émouvante.  Et certains parents avec les larmes aux yeux.

Il existe une infinité d’exemples comme ceux-là dans notre vie personnelle.  

Nous pouvons expérimenter la pleine présence à l’autre avec notre famille, nos amis, des inconnus  (attention toutefois d’éviter les personnes connues pour leur malveillance ou toxicité).

De l’attention, de la bienveillance, pas de jugement :  chaque fois un espace de connexion unique et essentiel se crée avec l’autre 👍 😉 

Profitons-en ! 🚀

Gilles

Note : Pour des raisons de simplicité dans la lecture et sans discrimination aucune, cette newsletter utilise la forme masculine pour parler du masculin et du féminin.